« La contractualisation financière est donc le nouvel outil de contrainte pour tordre le bras des exécutifs locaux. Cette procédure totalement technocratique, mise en place à la hussarde, sans grande concertation, va à l’encontre de ce que devrait être le dialogue entre l’État et les Départements. »
« Du côté de la majorité départementale, nous faisons le constat d’une bienveillance à l’égard de la politique menée par le gouvernement en matière de coupes des dépenses publiques, de réduction du service public et d’externalisation ou bien encore de suppressions de postes dans la fonction publique. »
« Nous regrettons que cet avenant n’évoque à aucun moment les dépenses nouvelles engagés dans le cadre du Plan Pauvreté. Notre groupe avait demandé qu’une clause puisse exclure ces dépenses nouvelles. Nous constatons qu’il n’en est rien pour l’heure. »